Dans quelle proposition a-t-on transformé la phrase suivante, où le discours est ancré dans la situation d'énonciation, en un discours coupé de la situation d'énonciation ?
La tranquillité en amour est un calme désagréable.
(Molière, Les Fourberies de Scapin)
Dans quelle proposition a-t-on transformé la phrase suivante, où le discours est ancré dans la situation d'énonciation, en un discours coupé de la situation d'énonciation ?
Il y a quelque chose d'admirable dans l'Homme, quoi que vous puissiez dire, que tous les savants ne sauraient expliquer.
(Molière, Le Malade imaginaire)
Dans quelle proposition a-t-on transformé la phrase suivante, où le discours est ancré dans la situation d'énonciation, en un discours coupé de la situation d'énonciation ?
- Le privilège des grands, c'est de voir les catastrophes d'une terrasse.
(Jean Giraudoux, La Guerre de Troie n'aura pas lieu)
Dans quelle proposition a-t-on transformé la phrase suivante, où le discours est ancré dans la situation d'énonciation, en un discours coupé de la situation d'énonciation ?
- Je n'aime pas tellement l'alcool. Et pourtant si je ne bois pas, ça ne va pas. C'est comme si j'avais peur, alors je bois pour ne plus avoir peur.
(Eugène Ionesco, Rhinocéros)
Dans quelle proposition a-t-on transformé la phrase suivante, où le discours est ancré dans la situation d'énonciation, en un discours coupé de la situation d'énonciation ?
Ce monde, tel qu'il est fait, n'est pas supportable. J'ai donc besoin de la lune, ou du bonheur, ou de l'immortalité, de quelque chose qui soit dément peut-être, mais qui ne soit pas de ce monde.
(Albert Camus, Caligula)